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mercredi 29 mai 2013

Sylvie Tribut Astrologue » Blog Archive » DANS LA MYTHOLOGIE GEMEAUX… UN DIEU MALIN… MERCURE




Sylvie Tribut Astrologue » Blog Archive » DANS LA MYTHOLOGIE GEMEAUX… UN DIEU MALIN… MERCURE

vendredi 24 mai 2013

Vraies et fausses « unités de mesure » astrologiques Par Jacques Halbronn


Vraies et fausses « unités de mesure » astrologiques
Par Jacques Halbronn

Disons-le d’entrée de jeu, le nombre clef de l’astrologie est le 7. Cela n’a rien à voir avec ce que l’on appelle le septénaire si ce n’est que si l’on parle du septénaire en incluant les luminaires en sus des planètes (jusqu’à Saturne), c’est en partie parce que précisément le 7 est important par ailleurs.
L’importance à accorder au 7 tient d’abord à la Lune qui découpe en 4 son parcours mensuel. Elle le fait au regard de la nouvelle lune, de la pleine lune et des demi-lunes mais elle le fait aussi par rapport aux quatre étoiles fixes royales qui balisent l’écliptique, selon un schéma se rapprochant d’un quadrilatère céleste. Ce sont les 28 jours qui sont nécessaires pour revenir à une même position sidérale (donc stellaire) qui donnent le 7 en se divisant en 4. (D’où l’importance de ce nombre dans les astrologies chinoise et hindoue, entre autres). On est donc bien loin de la question du nombre de planètes dans le système des Anciens. On peut même dire qu’il ne s’agit là que d’une coïncidence quelque peu forcée, d’autant que nous savons pertinemment aujourd’hui qu’il y a des planètes au-delà de Saturne, ce qui n’empêche pas le nombre 7 d’être matriciel par référence à la Lune mais aussi à Saturne dont les 28 ans de révolution sidérale font pendant aux 28 jours lunaires.
La Lune est une donnée beaucoup plus importante en astrologie – mais évidemment pas en astronomie- que le soleil. En ce sens, on dira que l’astrologie est lunaire et l’astronomie solaire, ce qui est assez emblématique de leur différence d’approche.
On aura compris que le zodiaque des 12 signes n’est pas notre « tasse de thé » et qu’il interféré plus qu’autre chose avec notre modèle. Nous ne pensons pas qu’il soit sage de tout faire cohabiter en astrologie sous prétexte que cela à voir avec l’astronomie, par tel ou tel biais.
Comment est-on passé d’une astrologie des 4 semaines à une astrologie des 4 saisons de trois mois ? Il est clair que le calendrier des 12 mois est chose courante et qu’il est lié aux rencontres soli-lunaires qui sont en un an au nombre de 12 (voire de 13).
Rappelons que le 7 est célébré dans la Bible et dans nos civilisations monothéistes par un jour chômé consacré à la prière ou en tout cas interdit au travail rémunéré. (cf. le shabbat, un des Dix Commandements).
On note aussi que dans la vie politique, l’année ne fait pas référence. On juge en général préférable d’instituer des « mandats » pluriannuels comme le quinquennat en France qui vaut aussi bien pour le président que pour l’Assemblée Nationale. Rarement, l’année apparait-elle comme la durée idéale de l’action, même si le cycle des (4) saisons marque les esprits
La journée, quant à elle, est solaire et nullement lunaire car la nuit ne doit rien à la Lune. Elle est l’expression de la situation du soleil. La journée se divise en un lever, une culmination (midi), un coucher et une « anticulmination ». (Minuit), soit autant de « quartes ».
Ajoutons que les sept ans ne sauraient se compter à partir de la naissance mais à partir d’une certaine balise valable pour tous et aménagée, à sa guise, par chacun.
.Mais l’ on pourrait aussi rappeler que le thème natal est quant à lui fondé sur l’instant, la minute de naissance. On connecte alors tout ce qui se passe à cet instant.
Le thème est un modèle, une méthode. Il se nourrit d’informations contextuelles mais celle-ci ne sont pas le fait d’observations de monde d’en bas mais du monde d’en haut. Or, nous pensons que le modèle cyclique doit tenir compte de ce qui le complété à savoir l’en bas.
L’unité de mesure astrologique est le 7 et non le 28. Il serait erroné d’accorder au retour sidéral d’un astre une quelconque importance. Dans bien des cas, il convient de regrouper plus de 4 phases de 7.
Certes, l’on pourrait s’amuser à distinguer les 4 phases en tre elle mais ce serait tout à fait vain. On peut toujours être tenté de trouver des critères distinctifs. C’est ainsi que de fil en aiguille, l’Astrologie n’aura cessé de se complexifier, en accordant une signification à ce qui n’en a pas. Certes, il peut être tentant de distinguer les 4 étoiles fixes royales entre elles, du fait qu’elles se situent en des lieux différents mais nous pensons qu’il est plus sage de s’en tenir à l’essentiel, et à mettre sur le même plan toute période de 7 ans. Non pas certes, que chaque période sera identique à une autre mais tout cela ressort de données extra-astrologiques et extra-astronomiques, ce que nous appelons les informations d’en bas, dont le modèle doit tenir compte mais n’a pas à se charger formellement d’autant que ces informations sont aléatoires et contingentes donc à l’opposé du cycle astronomique qui est censé être parfaitement égal à lui-même sur la longue durée.
On comprend certes, à quel point ce principe de neutralité, de répétition structurelle à l’identique aura été bafoué par l’astrologie, pendant la plus grande partie de son Histoire, en mettant en épingle le nom des planètes, le nom des signes, faisant ainsi fléché de tout bois transformant ainsi une structure dépouillée en une figure ô combien baroque !
L’astrologie nous semble souffrir d’un excès de symbolisme et d’une insuffisance d’apport personnel de la part de l’astrologue. Nous avons voulu en dégageant le modèle des 7 ans de tout le fatras symbolique libérer l’astrologue en lui fournissant un outil d’exploration. Mais on a l’impression que nos astrologues sont des aveugles qui préfèrent s’enfermer dans une bulle, dans un imaginaire virtuel. On pressent une peur du vide, d’un vide qu’ils paraissent incapables de combler par eux-mêmes. L’astrologie que nous leur proposons est visiblement trop simple, trop dépouillée. Mais n’est-ce pas justement ce qui la rend universelle tout en permettant à chacun et en toute circonstance de l’accommoder diversement ?
Il est vrai que nous nous refusons à trop baliser chaque période de sept ans. Nous nous contentons de fixer un rendez-vous tous les sept ans déterminé par une nouvelle conjonction de Saturne avec une des 4 étoiles fixes royales. Comment les choses évoluent-elles au cours de cette période de sept ans ? Nous nous gardons bien d’être trop précis, nous contentons de dire que l’on a comme un verre qui peu à peu se vide de façon à pouvoir à nouveau se remplir. Une telle information est vague mais elle a bel et bien une valeur globale extrêmement utile et qui manque terriblement à la conscience collective actuelle. Cela revient à dire que notre vie s’écoule de la naissance à la mort, de façon inexorables, que toute énergie en vient tôt ou tard à s’épuiser. La sagesse demande à ce que l’on fasse le meilleur usage de données aussi simples car plus on complexifie plus l’on cloisonne. La complexité en réalité n’est pas le fait d’un maximum d’énergie mais d’une insuffisance d’énergie. Quand l’énergie mentale faiblit, nous n’avons plus la force de dépasser les différences. Qu’est-ce qu’un grand politique ou un grand penseur sinon celui qui sait effacer les clivages en commençant déjà par faire le ménage dans sa tête ? « Je suis maître de moi comme de l’univers », faisait dire Corneille à Cinna. Et en effet, à mesure que l’énergie conjonctionnelle de Saturne en vient à s’épuiser, nos horizons se rétrécissent et nos grands projets se démantèlent. Que l’on se le dise, la complexité est le fait d’une paresse intellectuelle (dans le genre « cela n’a rien à voir »), même si à un certain stade, l’on sait que l’on passe de l’un au multiple, c'est-à-dire que l’on descend dans la hiérarchie de l’humanité. On a toujours besoin d’un plus petit que soi.
JHB
25.05.13

dimanche 19 mai 2013

samedi 18 mai 2013

Sylvie Tribut Astrologue » Blog Archive » LA SIBYLLE DE L’APENNIN AU CENTRE DE L’ITALIE



Sylvie Tribut Astrologue » Blog Archive » LA SIBYLLE DE L’APENNIN AU CENTRE DE L’ITALIE

mercredi 15 mai 2013

Les Ondes célestes



Les Ondes célestes

"Dans ce processus de Transition vers le Nouveau Monde, que vous appelez l’Ascension, vous pouvez constater qu’il procède par vagues, ou plutôt par ondes qui se propagent dans les consciences, un peu à la manière des ondes concentriques à la surface d’une mare quand vous y jetez un caillou.
Mais dans votre cas, les ondes deviennent de plus en plus courtes au fur et à mesure que vous vous rapprochez du centre. Si, voici quelques années, les creux de vagues duraient parfois plusieurs semaines vous constaterez que, depuis la fin de l’année 2012, ils ne durent que quelques jours.
Dans l’ensemble, l’humanité s’élève en conscience et gère beaucoup mieux ses conflits intérieurs, ses remises en question, ses contradictions profondes et ses colères. L’ego de chacun cède de plus en plus rapidement la place à l’âme, le mental raisonnant au mental causal motivé par la cocréation consciente.
De façon générale, les conflits durent moins longtemps, les crises se raréfient et les périodes de doute s’estompent peu à peu...
Si autrefois il vous fallait plusieurs jours pour vous remettre d’une épreuve, aujourd’hui vous remontez énergétiquement en quelques heures à votre taux vibratoire habituel.
Chacun vit ces vagues, ces ondes célestes de l’évolution, d’une manière différente. Pour vos proches, vous remarquerez que c’est un peu plus long que pour vous. Pour la grande majorité des êtres humains, encore plus long, bien que les fréquences soient de plus en plus rapprochées.
Pour la minorité des êtres éveillés - qui grandit de jour en jour - ces vagues agissent aussi, mais ils connaissent de moins en moins de périodes de creux. Et même si cela arrive, ils les gèrent tellement bien que cela ne dure que quelques minutes, quelques secondes pour certains. Le temps d’une prise de conscience, d’un ajustement nécessaire, d’un lâcher prise libérateur, et cela est réglé.
Prenez conscience, frères et soeurs de Lumière, de l’arrivée de ces ondes célestes en vous afin que vous appreniez à les laisser passer, comme vous le feriez pour une rafale de vent ou une averse soudaine, sans broncher, sans que cela ne vous affecte.
Ces ondes célestes ne visent qu’une seule chose, elles n’ont qu’un seul but, qu’une seule mission : vous ramener vers le centre, le Centre des centres, le Coeur des coeurs, la Source de toute Vie.
En conséquence, lorsqu’elles arrivent laissez-les vous submerger, vous transformer, vous purifier.
De bonne grâce, acceptez qu’elles vous bousculent un peu, qu’elles vous déstabilisent momentanément, qu’elles vous sortent de vos certitudes, de votre confort habituel, afin que vous vous adaptiez à CE QUI ARRIVE DE NOUVEAU, à vous et en vous.
Le futur se construit dans l’ICI et MAINTENANT, et il est toujours souhaitable de laisser le flux de la Vie vous emmener vers le Renouveau. Le Renouveau et l’inattendu sont, par essence, imprévisibles.
Tels des enfants qui jouent à ce Jeu sublime de la Vie, laissez-vous surprendre par la nouveauté, accueillez l’imprévu et l’inattendu en vous, vous n’en récolterez que de bons fruits.

Ne résistez pas, ne résistez plus,
ABANDONNEZ-VOUS !

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Extrait du livre à paraître "Semences pour la Nouvelle Terre".
© 2013 Patrick Giani
D'autres messages sur : http://www.giani.fr/messages_celestes.htm

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