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mercredi 28 novembre 2012

Sylvie Tribut Astrologue » 5.3.7 – SATURNE

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JIM - Injection intra-articulaire de cellules souches : un traitement d’avenir pour l’arthrose ?

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mercredi 14 novembre 2012

Sophie Maurin (teaser) - YouTube

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Sophie Maurin - Far Away Live Europe 1 - YouTube

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mardi 13 novembre 2012

Mediscoop - Le site de la Médecine Générale

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samedi 29 septembre 2012

Chez qui prévenir le diabète ? La dysglycémie | Journal | Diabétologie pratique - Bimestriel de diabétologie

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Évaluer l’atteinte rénale chez un patient diabétique : microalbuminurie, créatinine | Journal | Diabétologie pratique - Bimestriel de diabétologie

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Diabète de type 2 : faut-il revoir nos objectifs glycémiques ? | Journal | Diabétologie pratique - Bimestriel de diabétologie

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Variabilité glycémique : pourquoi et comment la mesurer ? | Journal | Diabétologie pratique - Bimestriel de diabétologie

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mardi 25 septembre 2012

Autosurveillance glycémique : au-delà des chiffres, une aide à la décision | Journal | Diabétologie pratique - Bimestriel de diabétologie

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Sécurité d’emploi cardiovasculaire des nouveaux antidiabétiques | Journal | Diabétologie pratique - Bimestriel de diabétologie

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L’index de pression systolique (IPS) : un marqueur vasculaire pour l’évaluation du risque | Journal | Diabétologie pratique - Bimestriel de diabétologie

 
 
 

JIM - Une mortalité à 5 ans plus que triplée pour les diabétiques victimes d’hypoglycémies sévères

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JIM - HDL-cholestérol bas dans le diabète de type 2 : à risque de microangiopathie rénale

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mercredi 23 mai 2012

lundi 7 mai 2012

MAI THU

Peintre Vietnamien - Mai Thu


Voici un peintre Vietnamien que j'ai connu tout à fait par hasard en tombant sous le charme d'une reproduction de l'une de ses toile dans une brocante... j'aime le style un peu particulier de ses personnages...
Mai-Thu est né le 10 novembre 1906 à Ro-Nha (Nord Vietnam). Il fait les beaux-arts de Hanoi (1925-1930) puis arrive en France à l'occasion de l'Exposition Internationale de 1937. Il y commence une carrière d'artiste peintre, mais également de musicien en jouant du doc-huyen (instrument monocorde vietnamien) et de cinéaste. A partir de 1948, il expose régulièrement dans des galeries à Paris et en Province. Toute son oeuvre, à part quelques huiles, est peinte sur soie à la gouache, par frottages et couleurs réparties en à plats. Mai-Thu est décédé le 10 octobre 1980 à Clichy La Garenne.

Mai Thu (1906-1980) : Peinture en hauteur sur soie. Jeune femme debout au bouquet d'anémones.
Signée en bas à droite «Mai Thu» et en chinois ainsi que du cachet rouge de l'artiste. Dimension : 17 cm x 12 cm. Encadrée sous verre. Estimé : 4 000 / 4 500 €

Mai Thu reçoit son diplôme de l'école des Beaux-Arts de l'Indochine en 1930 et c'est en 1937 qu'il décide de s'installer en France. Il est l'artiste le plus fidèle à la technique de la peinture sur soie et son thème de prédilection est celui de la beauté féminine idéalisée











jeudi 3 mai 2012

Blog | Vos Faqparigine Digressions de Paris et ses environs

Un site pour les Italiens voulant se rendre à Paris..
avec pleins d'adresses.
Il est en Italien et Français...
Tenu par une de mes amie italienne Carla.



dimanche 25 mars 2012

Thé Noir

Thé noir et syndrome métabolique

Lors d’une étude randomisée sur 90 sujets souffrant du syndrome métabolique, le thé Pu’er (thé noir connu sous le nom de Tuo cha ) a montré un excellent potentiel de l’amélioration de l’état de santé de ces sujets, en ajustant les lipides sanguins, en diminuant la glycémie et en régulant des indices de l’immunité et de la résistance à l’oxydation. Il peut donc jouer un rôle bénéfique dans l’ajustement du syndrome métabolique et serait idéal dans un souci de prévention. Référence : Chu SL, Fu H, Yang JX, Liu GX, Dou P, Zhang L, Tu PF, Wang XM. A randomized double-blind placebo-controlled study of Pu'er tea () extract on the regulation of metabolic syndrome. Chin J Integr Med. 2011 Jul;17(7):492-8

mercredi 11 janvier 2012

Où le déficit en vitamine D double le risque de diabète de type 2 chez les septuagénaires

ACTUALITE MEDICALE




Où le déficit en vitamine D double le risque de diabète de type 2 chez les septuagénaires



Publié le 10/01/2012







Un nombre croissant de travaux mettent l’accent sur la grande fréquence du déficit en vitamine D (DVD) et associent à ce déficit bien des effets délétères, non seulement sur l’os mais aussi sur le fonctionnement immunitaire, cardiovasculaire, et métabolique. Ainsi est suggéré un accroissement du risque de diabète de type 2 (DT2). Des auteurs danois et américain ont cherché à en savoir plus sur la relation, peu explorée jusque-là, entre déficit vitaminique D et risque de DT2 en population potentiellement vulnérable, celle des sujets âgés vivant sous des latitudes nordiques.



C’est auprès de 668 habitants des îles Féroé âgés de 70 à 74 ans que C Dalgärd et coll. ont mené cette étude, transversale, inscrite dans un vaste projet visant à évaluer, en communauté de pêcheurs, les effets sanitaires indésirables possibles d’une exposition au méthylmercure et aux polychlorobiphényles (PCB), via la consommation en abondance de produits de la mer et de graisse de baleine pilote. Des dosages de 25-hydroxyvitamine D3 [25(OH)D3] ont été effectués. L’identification du diabète s’est appuyée sur l’existence auto-rapportée d’un diabète diagnostiqué par un médecin et/ou l’utilisation de médicaments hypoglycémiants et, chez les sujets n’ayant pas déclaré un diabète connu, sur la découverte d’une glycémie à jeun supérieure ou égale à 7 mmol/l et/ou d’un taux d’hémoglobine glyquée (HbA1c) atteignant ou dépassant 6,5 %.



Dans cette cohorte d’étude, comptant 327 femmes et 341 hommes, âgés de 72,7 ans en moyenne, dont 37 % étaient obèses, 158 septuagénaires (24 %) avaient un diabète type 2, diagnostiqué auparavant pour 13 % d’entre eux, identifié pour la première fois dans la présente étude chez 11 %. La médiane de concentration sérique de vitamine D3 était de 47,6 nmol/l (29,8-64,8 nmol/l) et plus de la moitié de la cohorte avait un déficit en vitamine D3 [taux de 25(OH)D3 inférieur à 50 nmol/l].



Après ajustements sur le sexe, l’analyse associe au déficit en vitamine D, en comparaison des taux de 25(OH)D égaux ou supérieurs à 50 nmol/l, un accroissement de 80 % du risque de diabète, diabète connu et diabète nouvellement identifié (odds ratio OR = 1,80 ; intervalle de confiance à 95 % IC à 95 % 1,23-2,64 ; p = 0,002). Les ajustements poussés sur l’IMC, le statut tabagique, l’exposition aux PCB, les taux de HDL-cholestérol et de triglycérides, et sur le mois où les prélèvements ont été effectués, ont peu modifié ce lien (OR =1,67 ; 1,11-2,50 ; p = 0,013).



L’analyse selon que le diabète était ou non connu, associe au déficit vitaminique D3 un risque de diabète nouvellement diagnostiqué multiplié par près de 2 (OR multi-ajusté = 1,99 ; 1,14 3,48 ; p = 0,022), la force de ce lien n’étant pas retrouvée pour le risque de diabète préexistant (1,47 ; 0,89-2,49 ; p = 0,132). Quant aux taux d’HbA1c, ils étaient plus bas lorsque les concentrations de 25(OH)D3 étaient plus élevées, mais l’association perdait sa significativité statistique après exclusion de l’analyse des sujets dont le diabète avait été antérieurement diagnostiqué. La fréquence des apports alimentaires en poisson, plus de deux fois par semaine, n’a modifié ni les associations au diabète de type 2 ni celles au taux d’HbA1c.



Cette étude étend aux septuagénaires le lien suggéré en populations plus jeunes entre vitamine D et risque de diabète de type 2, en mettant en évidence, entre 70 et 74 ans, une relation inverse entre concentrations sériques de 25(OH)D3 et risque de se voir découvrir un DT2. De type transversal, elle ne permet cependant pas de conclure plus avant et appelle des études interventionnelles, à doses appropriées, et en mettant l’accent sur les besoins alimentaires nécessaires aux sujets âgés.









Dr Claudine Goldgewicht







Dalgärd C et coll. : Vitamin D status in relation to glucose metabolism and type 2 diabetes in septuagenarians. Diabetes Care 2011 ; 34 1284-8.



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