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samedi 5 décembre 2009
La rue Championnet
comme on ne la verra plus jamais ?
2 décembre 2009 par Philippe Bordier
Clin d’œil : deux cartes postales du début du 20e siècle prouvent qu’il fut une époque où la rue Championnet, dans le 18e arrondissement de Paris, appartenait aux piétons. Quartiers verts ? Espaces protégés ? Un jour, peut-être, l’intense circulation sur cette voie ne sera-t-elle plus qu’un mauvais souvenir...
Il est actuellement beaucoup question de la rue Championnet sur dixhuitinfo. Cette artère est l’une des plus longue du 18e arrondissement de Paris. C’est aussi un axe majeur pour la circulation de transit. Aujourd’hui, cette voie est régulièrement le théâtre d’embouteillages dantesques, notamment entre la rue des Poissonniers et le boulevard Ornano.
Ce n’était bien entendu pas le cas autour des années 1900 1910, à l’époque où ces clichés ont été pris. Autres temps, la rue semblait d’ailleurs plutôt appartenir aux piétons. Reste un doute : nous ne sommes pas certains, à dixhuitinfo, de l’endroit où le photographe avait posé son appareil. Alors, si vous avez un avis sur la question, n’hésitez pas à nous le transmettre !
Clin d’œil : deux cartes postales du début du 20e siècle prouvent qu’il fut une époque où la rue Championnet, dans le 18e arrondissement de Paris, appartenait aux piétons. Quartiers verts ? Espaces protégés ? Un jour, peut-être, l’intense circulation sur cette voie ne sera-t-elle plus qu’un mauvais souvenir...
Il est actuellement beaucoup question de la rue Championnet sur dixhuitinfo. Cette artère est l’une des plus longue du 18e arrondissement de Paris. C’est aussi un axe majeur pour la circulation de transit. Aujourd’hui, cette voie est régulièrement le théâtre d’embouteillages dantesques, notamment entre la rue des Poissonniers et le boulevard Ornano.
Ce n’était bien entendu pas le cas autour des années 1900 1910, à l’époque où ces clichés ont été pris. Autres temps, la rue semblait d’ailleurs plutôt appartenir aux piétons. Reste un doute : nous ne sommes pas certains, à dixhuitinfo, de l’endroit où le photographe avait posé son appareil. Alors, si vous avez un avis sur la question, n’hésitez pas à nous le transmettre !
samedi 28 novembre 2009
Vaccination contre la Grippe A dans le 17eme arrondissement
Vaccination contre la Grippe A : comment ça se passe dans le 17e arrondissement de Paris
vendredi 27 novembre 2009
jeudi 26 novembre 2009
mercredi 25 novembre 2009
L'Homme de chevet
Description :
Carthagène, Colombie. Léo, ancien boxeur, travaille au service de Muriel, jeune femme tétraplégique. Peu à peu, une histoire d'amour passionnée se noue entre eux...
mercredi 18 novembre 2009
EDGAR HOPPER
Edgar Hopper est un peintre américain né à Nyack le 22 juillet 1882, dans l’État de New York et mort le 15 mai 1967, dans son atelier près de Washington Square, à New York.
Bibliographie
En 1900, Edgar Hopper s'inscrit dans la New York School of Art.
De 1906 à 1910, Edgar Hopper effectue trois séjour à Paris et de nombreux voyages en Europe pour compléter sa formation.
En 1908, Edgar Hopper s'installe définitivement à New York où il travaille comme dessinateur publicitaire puis comme illustrateur.
En 1915, il réalise ses premières eaux-fortes et se fait connaître par les critiques d'Art dans une exposition au Mac Dowell Club
En 1925, Edward Hopper achève le tableau Maison au bord de la voie ferrée, qui est considérée comme l’une de ses meilleures oeuvres
Première rétrospective de l'oeuvre de Hopper au Museum of Modern Art de New York en 1933.
En 1939, Hopper fait partie du jury du Carnegie Institute, avant d'être élu membre du National Institute of Arts and Letters en 1945.
En 1953, Edgar Hopper reçoit le titre de Doctor of Fine Arts de l'Art Institute of Chicago
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En 1925, Edward Hopper achève le tableau Maison au bord de la voie ferrée, qui est considérée comme l’une de ses meilleures oeuvres.
Première rétrospective de l'oeuvre de Hopper au Museum of Modern Art de New York en 1933.
En 1939, Hopper fait partie du jury du Carnegie Institute, avant d'être élu membre du National Institute of Arts and Letters en 1945.
En 1953, Edgar Hopper reçoit le titre de Doctor of Fine Arts de l'Art Institute of Chicago
Bibliographie
En 1900, Edgar Hopper s'inscrit dans la New York School of Art.
De 1906 à 1910, Edgar Hopper effectue trois séjour à Paris et de nombreux voyages en Europe pour compléter sa formation.
En 1908, Edgar Hopper s'installe définitivement à New York où il travaille comme dessinateur publicitaire puis comme illustrateur.
En 1915, il réalise ses premières eaux-fortes et se fait connaître par les critiques d'Art dans une exposition au Mac Dowell Club.
En 1925, Edward Hopper achève le tableau Maison au bord de la voie ferrée, qui est considérée comme l’une de ses meilleures oeuvres.
Première rétrospective de l'oeuvre de Hopper au Museum of Modern Art de New York en 1933.
En 1939, Hopper fait partie du jury du Carnegie Institute, avant d'être élu membre du National Institute of Arts and Letters en 1945.
En 1953, Edgar Hopper reçoit le titre de Doctor of Fine Arts de l'Art Institute of Chicago.
mardi 17 novembre 2009
Le Peuple a toujours fait grève, la preuve avec ce tableau.
RIEN A CHANGER... TOUT RECOMMENCE. VOYEZ CET ARTICLE. Contexte historique
Ville située dans la banlieue industrielle du nord de Paris, Saint-Ouen compte au début du XXe siècle de nombreux ateliers métallurgiques et des entreprises de divers secteurs (fabriques de cirage, imprimeries, construction automobile…). Le mouvement social y est anciennement enraciné et s’appuie sur la tradition de sociabilité de l’artisanat bien plus vivante que dans la grande industrie comme au Creusot. La conscience politique y a même permis l’installation entre 1887 et 1896 d’une des premières municipalités socialistes révolutionnaires.
A la vague de grèves et à la poussée syndicale spectaculaire que connaît toute la France dans les années 1904 à 1907, la population de Saint-Ouen apporte bien sûr sa participation : plus particulièrement en 1907, ce sont les boulangers et les gaziers, puis, au début de 1908, c’est au tour des terrassiers du chantier du métro parisien. La grève est toujours scandée de manifestations et de meetings, de chants révolutionnaires et de drapeaux rouges, brandis pour provoquer le pouvoir en place qui l’a interdite.
Cette agitation entraîne parfois des violences mortelles : des patrons ou la troupe tirent sur les manifestants, faisant des morts comme à Cluses en 1904, à Longwy en 1905 ou à Courrières après la catastrophe de 1906.
Analyse de l'image
L’événement relaté par Delance n’est pas connu avec précision. Il est toutefois aisé de déceler l’origine du long cortège qui surgit de l’horizon hérissé de cheminées d’usines, à droite : deux corbillards dont on voit émerger les dais et les cochers de part et d’autre du drapeau central. L’hypothèse est qu’il s’agit de l’enterrement de deux ouvriers tués lors d’une manifestation. Pendant que les manifestants crient ou chantent à droite, d’autres s’inclinent à gauche au passage des corbillards qu’illuminent les rayons du soleil perçant le ciel gris.
Mais le peintre relègue l’événement au second plan et laisse toute la place au vieil ouvrier porte-drapeau et plus encore, parce qu’ils regardent le spectateur, à la jeune mère et à son enfant. Cette participation des vieillards, des femmes et même des bébés est attestée dans toutes les grèves et les manifestations ouvrières au tournant du siècle.
Interprétation
Dans les sujets extrêmement divers qu’il traite, Delance privilégie une représentation à forte valeur symbolique. Ce tableau n’y échappe pas. Sa mise en scène est totalement centrée sur le drapeau rouge : il est l’axe de la composition comme de la manifestation. Sa couleur est exaltée par celle verte et complémentaire du fond. Surtout il relie les générations, et c’est dans ses plis que sont élevés les enfants.
Ce tableau témoigne certes du climat social tendu de ces années 1904 à 1907, il en souligne aussi les violences et les options radicales. Une nouvelle phase de l’industrialisation et du mouvement ouvrier est inaugurée.
Auteur : Pierre SESMAT
Ville située dans la banlieue industrielle du nord de Paris, Saint-Ouen compte au début du XXe siècle de nombreux ateliers métallurgiques et des entreprises de divers secteurs (fabriques de cirage, imprimeries, construction automobile…). Le mouvement social y est anciennement enraciné et s’appuie sur la tradition de sociabilité de l’artisanat bien plus vivante que dans la grande industrie comme au Creusot. La conscience politique y a même permis l’installation entre 1887 et 1896 d’une des premières municipalités socialistes révolutionnaires.
A la vague de grèves et à la poussée syndicale spectaculaire que connaît toute la France dans les années 1904 à 1907, la population de Saint-Ouen apporte bien sûr sa participation : plus particulièrement en 1907, ce sont les boulangers et les gaziers, puis, au début de 1908, c’est au tour des terrassiers du chantier du métro parisien. La grève est toujours scandée de manifestations et de meetings, de chants révolutionnaires et de drapeaux rouges, brandis pour provoquer le pouvoir en place qui l’a interdite.
Cette agitation entraîne parfois des violences mortelles : des patrons ou la troupe tirent sur les manifestants, faisant des morts comme à Cluses en 1904, à Longwy en 1905 ou à Courrières après la catastrophe de 1906.
Analyse de l'image
L’événement relaté par Delance n’est pas connu avec précision. Il est toutefois aisé de déceler l’origine du long cortège qui surgit de l’horizon hérissé de cheminées d’usines, à droite : deux corbillards dont on voit émerger les dais et les cochers de part et d’autre du drapeau central. L’hypothèse est qu’il s’agit de l’enterrement de deux ouvriers tués lors d’une manifestation. Pendant que les manifestants crient ou chantent à droite, d’autres s’inclinent à gauche au passage des corbillards qu’illuminent les rayons du soleil perçant le ciel gris.
Mais le peintre relègue l’événement au second plan et laisse toute la place au vieil ouvrier porte-drapeau et plus encore, parce qu’ils regardent le spectateur, à la jeune mère et à son enfant. Cette participation des vieillards, des femmes et même des bébés est attestée dans toutes les grèves et les manifestations ouvrières au tournant du siècle.
Interprétation
Dans les sujets extrêmement divers qu’il traite, Delance privilégie une représentation à forte valeur symbolique. Ce tableau n’y échappe pas. Sa mise en scène est totalement centrée sur le drapeau rouge : il est l’axe de la composition comme de la manifestation. Sa couleur est exaltée par celle verte et complémentaire du fond. Surtout il relie les générations, et c’est dans ses plis que sont élevés les enfants.
Ce tableau témoigne certes du climat social tendu de ces années 1904 à 1907, il en souligne aussi les violences et les options radicales. Une nouvelle phase de l’industrialisation et du mouvement ouvrier est inaugurée.
Auteur : Pierre SESMAT
lundi 16 novembre 2009
Appel en cas d'Urgence
ICE IN CASE OF EMERGENCY ICE (In case of Emergency)
Les ambulanciers ont remarqué que très souvent lors d'accidents de la route, les blessés ont un téléphone portable sur eux. Toutefois, lors des interventions, ils ne savent pas qui contacter des ces listes interminables de contacts.
Les ambulanciers ont donc lancé l'idée que chacun rentre dans sa liste des contacts, la personne à contacter en cas d'urgence sous le même pseudonyme. Le pseudonyme internationalement connu est ICE (= In Case of Emergency). C'est sous ce nom qu'il faudrait entrer le numèro de la personne à contacter utilisable par les ambulanciers, la police, les pompiers ou les premiers secours. Lorsque plusieurs personnes doivent être contactées on peut utiliser *ICE1, ICE2, ICE3,* etc. Facile à faire, ne coûte rien et peut faciliter le travail des secouristes. Faites passer le message à vos proches et vos amis,
jeudi 21 mai 2009
mercredi 13 mai 2009
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